L'Américaine Corrie Nielsen, dont la maison de couture a ses quartiers à Londres a investi les salons du Louvre avec ses robes trapezes aux volumes démesurés, inspirés du design futuriste des 60's.  Sa collection "The Single Girl" rend hommage aux femmes des années 60 qui ont bouleversé les formes de la féminité. Elle vient surprendre avec des poches gonflées d'air, des capuches béantes et des robes tout en relief dans une collection gonflée.



Christine Phung, lauréate du prix de l’ANDAM dans la catégorie « Premières Collections » en 2013 a choisi l'Institut du monde arabe pour présenter sa collection volcanique. Toutes les teintes de gris passent dans ses robes aux structures fluides qui rencontrent toujours un détail orangé  via des lunettes ou des lèvres brasier. 

Le duo Dévastée a tranché : la collection PE2015 le blanc et noir a le champ libre à condition d'être ouvragé, imprimé. Les créateurs s'amusent sur pantalon ou robe chemise à décliner un personnage orné d'une croix. Pierre tombale rieuse que l'on retrouve jusqu'au bout d'un bonnet. 


L'avant-garde japonaise est bien representée avec Kunihiko Morinaga d'Anrealage. Il perfore le cuir et fait porter à des silhouettes robotiques au chignon corsetté des robes photophores 2.0. Réactives à la lumière, ses robes blanches se colorent pendant le show. 

Mercredi Guy Laroche, Yang Li, Dries Van Noten et Balenciaga vont faire parler à leur tour les podiums pour donner leur définition de la mode de demain.

Charline Lecarpentier pour MediaTV Presse