MODE spécial Dysfashional
Mode Special … l’Exposition de tous les dangers !
Mode et Art enfin accouplés.
Nom de code : Dysfashional,
ou la superposition de deux discours hybrides
similaires et compatibles.
Les créateurs
s’affirment …
Luca MARCHETTI
Commissaire exposition Dysfashional
PARIS
… pour exprimer leur point vue et non pas les contraintes habituelles auxquelles ils sont soumis, lorsqu’ils lancent un produit sur le marché, lorsqu’ils conçoivent une collection, ou lorsqu’ils travaillent sur une pièce pour leur galerie habituelle.
Cyril Duval s’amuse à retraduire les shémas de communication qu’il pioche dans la culture populaire. Fasciné par les marques, il grave son œuvre dans le verre.
Cyril DUVAL
Artiste Item Idem
PARIS
J’essayais d’identifier des icônes dont la présence dans la mémoire résiduelle collective serait très importante. Finalement, ce sont des gens que vous connaissez tous, même si vous ne connaissez pas l’univers de la Mode.
Un clin d’œil au Mont Rushmore, et ses présidents américains ?
Cyril DUVAL
Artiste Item Idem
PARIS
Il ne faut jamais essayer de travailler sur un propos didactique, mais plutôt essayer de donner des pistes de lecture qui permettent aux gens de réfléchir, d’analyser les références artistiques employées dans l’œuvre et ce qu’elles induisent, et à chacun de se faire sa propre idée.
Dansez … respirez …tenez la pose …
Manifestestement c’est un manifeste …
…
Les poses sont inspirées du maître danseur
Michael Jackson.
Olivier CASAMAYOU
Chorégraphe
PARIS
Le dispositif mettait le corps du mannequin dans une espèce de dispositif sacrificiel. On est dans quelque chose qui finalement n’existe pas, c’est un corps fantasmé, complètement.
Hussein Chalayan est chypriote,
il étudie la Mode, les Arts Plastiques
à la Central Saint Martin de Londres au début des années 80.
La branchitude le fait fuir,
indépendant, pluridisciplinaire.
Anaesthetics, le film, met l’accent sur les rituels du style,
sur les procédures d’esthétisation lorsqu’elles deviennent
des stratégies d’anésthésie du réel.
Produite par
et pour l’Exposition,
L’œuvre de Justin Morin et de Billie Mertens
joue la capillarité.
La parisienne Françoise Hardy
La berlinoise Nina Hagen
Justin MORIN
Artiste
PARIS
Ce sont des formes énigmatiques, qui sont entre le totem et la colonne, on ne sait pas vraiment ce que c’est. Il y a une part de mystère qui amène justement à l’acte, à l’acte de toucher.
Aujourd’hui le marché est suffisament mûre,
le public de la Mode suffisament large,
pour accepter
ce qui ne l’était pas
il y a 20 ans.
Luca MARCHETTI
Commissaire exposition Dysfashional
PARIS
On peut faire du conceptuel et on aura un public, on peut faire du commercial, et on aura un public. Différents discours pour différents publics. Même au sein de la même marque, on peut faire du pointu, et on peut faire du populaire, du commercial j’ai envie de dire.
Exemple : Louis Vuitton …
très commercial sur les Champs Elysées parisiens,
hyper underground à Tokyo.
Dysfashional présentera ses accouplements modernes
à Berlin
au printemps prochain,
plus qu’une Expo,
un immense chantier !
ENGLISH VERSION: http://www.youtube.com/watch?v=8YwdU0_DsK0
REMERCIEMENTS
Passage du Désir
Michael Sontag
Dysfashional
MoSign
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